Deux possibilités :
- vous avez n’avez pas lu DA VINCI CODE
- vous avez déjà lu DA VINCI CODE
Dans le premier cas, vous allez sans doute apprécier cette aventure de Robert Langdon, professeur d’iconologie religieuse à Harvard.
Le rythme démarre bien dès les premières pages et nous plongeons dans la trame du roman sans s’en apercevoir.
De fil en aguille, l’action se déroule en Amérique, en Suisse et à Rome, ville recelant une immense partie des secrets que vous allez découvrir
Le CERN, pole de recherche scientifique, a pu produire l’antimatière, une puissante source énergétique.
Les illuminati, antique confrérie sécrète, ont décidé de s’attaquer au Vatican, ou le dernier Pape vient de mourir (compte tenu de la récente actualité de ces derniers mois, nous comprenons davantage les rites et les modalités de l’élection du nouveau pape).
Un problème se pose : l’antimatière a disparu du laboratoire et menace la cité du Vatican, pendant le conclave…
Un compte à rebours commence à cadencer l’action et Dan Brown prouve ses talents pour nous maintenir toujours en haleine et nous donner envie de tourner les pages.
À lire pour se faire plaisir.
Petit conseil : il faut lire DA VINCI CODE.
Dans le deuxième cas, vous allez trouver les mêmes recettes qui ont fait le succès du DA VINCI CODE.
Dès l’introduction, l’auteur précise que tous les monuments et sites dont il parle « existent bel et bien » ; de cette manière, inconsciemment, vous donnez du relief à son récit et son interprétation des symboles vous conduit à vous poser certaines questions tout au long du roman.
Le problème est que vous plongez tellement dans l’histoire qu’il est vivement conseillé de ne pas lire ce livre dans le metro’ ou le bus, sous peine de louper votre station.
Les rebondissements et un style d’écriture à la portée de tous ont fait de ce roman un vrai moment de plaisir.
À conseiller à vos amis.